Focus du 15 juin 2016

Est-ce que c’est normal?!

Quelques variations « perplexantes » des radiographies abdominales

 

Dre Kate Alexander, DMV, MS, Dipl. ACVR

 

Il peut nous arriver de regarder une radiographie abdominale et de nous poser la question : « Est-ce que c’est normal? Il me semble que je n’ai jamais remarqué ça avant… » Voici un petit potpourri d’exemples de variations dans les images radiographiques de l’abdomen qui n’ont généralement aucune conséquence clinique, mais qui peuvent vous faire gratter la tête…

 

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Focus du 18 mai 2016

La pododermatite plasmocytaire féline

Dre Nadia Pagé, DMV, MSc, Dipl. ACVD

Déjà rapportée dans les années 80, la pododermatite plasmocytaire féline est une condition peu fréquente, dont la cause demeure encore inconnue. L’infiltration des tissus des coussinets par les plasmocytes, l’hypergammaglobulinémie retrouvée chez les patients et la réponse aux traitements immunomodulateurs suggèrent une cause immunitaire. Certains chats présenteraient desrécidives saisonnières suggérant la possibilité d’une allergie sous-jacente. Une cause infectieuse a aussi été suspectée.

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Focus du 11 mai 2016

Gestion de l’hypotension artérielle durant l’anesthésie
générale:
leçons issues de la médecine humaine

Dr Jean-Jacques Kona-Boun, DMV, MSc, Dipl. ACVAA

La mesure de la pression artérielle est considérée comme un aspect indispensable de la surveillance durant l’anesthésie générale. La pression artérielle n’est pas équivalente à la perfusion et à l’oxygénation tissulaires. Par exemple, des données expérimentales animales suggèrent que la diminution du débit cardiaque peut causer une diminution importante du débit sanguin rénal, même en présence d’une pression artérielle normale (Rhee et coll. 2012). Toutefois, la pression artérielle reste le paramètre hémodynamique le plus facile à mesurer et, lorsqu’il est anormalement bas, il peut suggérer un état hémodynamique sous-optimal et associé à de l’ischémie.

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Focus du 4 mai 2016

Le pica chez le chat

Dre Isabelle Demontigny-Bédard, DMV, Dipl. ACVB

Une étude réalisée lors de ma résidence en comportement à la faculté de médecine vétérinaire en collaboration avec Guy Beauchamp, Marie-Claude Bélanger et Diane Frank visait à caractériser le pica chez le chat. Les résultats de cette étude ont été acceptés pour publication dans le Journal of Feline Medicine and Surgery le 22 mai 2015.1 Vous en trouverez les grandes lignes ici.

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Focus 27 avril 2016

L’intelligence émotionnelle au travail: Pour moi ??

Nathalie Simard, Directrice du C.A.R.E (Clients-Accompagnement-Relations-Évolution)

Par définition l’intelligence la faculté de comprendre, de saisir par la pensée. On connait bien la notion de QI, quotient intellectuel. Pendant plusieurs années, le QI faisait foi d’une vie bien réussie. Pour réussir sa vie, ses études, on se basait sur des tests de QI et on pouvait prédire si le sujet réussirait ou non sa vie.

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Focus du 13 avril 2016

La gestion des expirés: une solution efficace et rentable

Virginie Beaucage, TSA cert. Responsable de l’approvisionnement, inventaire et équipements médicaux

Comment bien gérer sa pharmacie?
La gestion des médicaments n’est pas aussi simple que l’on peut penser. Voici des trucs faciles à appliquer tous les jours et qui vous permettront de sauver de l’argent pour votre entreprise.

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Focus du 23 mars 2016

Les noeuds lymphatiques thoraciques:

ces combattants dans l’ombre

Par Dr Hugo Joly, DMV, Dipl. ACVR

L’altération en taille des noeuds lymphatiques est un élément important à reconnaitre chez nos patients. Ces noeuds font partie d’un système de drainage et de défense qui participe à combattre de multiples processus infectieux et néoplasiques. L’identification d’une lymphadénomégalie localisée peut donc permettre d’attirer notre attention sur une région spécifique du corps, afin d’investiguer plus avant la source primaire de la maladie qui affecte notre patient. Une lymphadénomégalie généralisée peut quant à elle supporter un processus inflammatoire multisystémique ou une infiltration néoplasique telle un lymphome.

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Focus 9 décembre 2015

THÉRIOGÉNOLOGIE: les vaginites chez la chienne

Par Dre Angélika Stock, DMV, PhD, DES, Dipl. ACT

Les vaginites chez la chienne sont une source fréquente de discussion entre le médecin vétérinaire et le propriétaire. Un écoulement vaginal persistant, un léchage vulvaire et de la pollakiurie sont des signes courants qui peuvent frustrer le propriétaire de l’animal autant que le médecin vétérinaire, en particulier quand plusieurs traitements topiques ou
parentéraux ont été tentés sans succès. Johnson (1991) résume les causes possibles de vaginite comme l’immaturité, l’irritation chimique par l’urine, les infections, les irritations mécaniques occasionnées par des polypes et des tumeurs, ou des anomalies anatomiques. Une vaginite ne devrait pas être diagnostiquée sans l’évaluation d’un frottis vaginal, qui permettra d’identifier le stade du cycle chez femelle intacte ou de détecter la présence de cellules inflammatoires et de bactéries. L’évaluation adéquate d’un frottis vaginal, toutefois, doit tenir compte de la présence normale de cellules inflammatoires, avec une prédominance de neutrophiles à plusieurs stades du cycle oestral.

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Focus du 10 juin 2015

L’interprétation par un spécialiste en radiologie : quand et pourquoi ?

sous la responsabilité de Dre Kate Alexander

https://www.centredmv.com/wp-content/uploads/2015/06/focus_10-juin-2015.pdf

Pourquoi faire appel à un spécialiste en radiologie?

En tant que praticiens, nous avons chacun nos forces et faiblesses et surtout nos passions. Au sein d’une même pratique générale, il y a souvent des préférences particulières qui se développent. Une praticienne adore la chirurgie, alors qu’une autre préfère de loin l’échographie. Il est donc tout à fait normal que certains ne se sentent pas toujours à l’aise avec l’interprétation radiographique. En fait, je ne me souviens pas d’une seule occasion où l’on m’a déclaré que des radiographies de thorax, c’est facile à interpréter ! Ne pas se sentir pleinement en confiance peut comporter des inconvénients. Entre autres, on peut avoir tendance à éviter de faire un test qui serait approprié. En utilisant un
service de téléradiologie on peut faire d’une pierre deux coups : élargir les possibilités diagnostiques en augmentant sa confiance, tout en contribuant à rentabiliser l’achat d’un appareil numérique, tout cela simplement en augmentant le nombre de radiographies que l’on prend.

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Focus du 6 mai 2015

Vos parents vous ont-ils dit de toujours vous tenir droit ?

sous la responsabilité de Dr Hugo Joly

https://www.centredmv.com/wp-content/uploads/2015/05/focus_6-mai-2015.pdf

Une des difficultés majeures que l’on rencontre dans l’interprétation radiographique réside dans la superposition des tissus. En obtenant des images en deux dimensions d’un sujet qui en fait trois, cet inconvénient ne peut jamais être entièrement éliminé. Il reste toutefois essentiel de tenter d’en diminuer le plus possible les effets néfastes. L’obtention d’une constance dans l’expression de cet effet de superposition permet d’établir des normes sur ce qui est attendu d’une image donnée, et permet donc plus facilement de comprendre et de reconnaitre
d’un examen à l’autre ce qui est une pathologie et ce qui est un effet de superposition. Lorsqu’une projection est obliquée, il est facile de comprendre que des critères objectifs pour différentier le normal du pathologique ne seront pas disponibles. L’image obtenue sera modifiée à la fois parce que le plan du faisceau radiographique sera différent d’une obliquité à l’autre, mais aussi parce que le vecteur de force gravitationnelle n’agira pas de la même façon sur les organes internes du patient.

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